Il s'agit de travailler sur les technologies « vertes » et sur la mise en œuvre d'un futur urbain (positif) que l'on voit s'esquisser : la ville durable. Depuis le 19e siècle le développement des villes reste inséparable de celui de leurs réseaux techniques. Ces réseaux ont été organisés à partir d'un modèle commun que l'on retrouve pour plusieurs systèmes techniques et dans toutes les villes du monde, sans distinction de régime politique ou de niveau de développement : le réseau unique, de forme réticulaire, organisé en monopole et visant au service universel.